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    La réaction fut proportionnelle au choc. Le choc fut terrible, la déception encore plus intense, l'envie de crier fut prenante et la façon de me reprendre surprenante.

    Promettre et ne pas être lié par cette promesse ?

    Laisser espérer et décevoir profondément ?

    Créer le manque et s'en foutre littéralement ?

    Ma journée et les suivantes, toutes celles qui arriveront après ce manque ne pourront qu'être pourries, compliquées, difficiles et acharnées.

    ...

    Il n'y avait pas de chocolat dans mes céréales au chocolat !

    J'suis furieuse.

    VENGEANCE.


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    O meu coração não mudo... a minha vida sim.

    Não tenho a certeza que si me encontravas agora gostarias de mim.

    Não sei porqué não funciono.

    Eu so sei que tu não me amas, e não me amaste.

    Saber é dificil.

    Mudar parece mais facil... mas não é... Talvez mesmo é o contrario.

    Ficar a mesma, ficar o mesmo...

    A nossa identidade.

    Nunca gostei dos nossos adeus...

    Tenho saudades de ti.

    Jà não te falto mais...

     

     


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    La tension monte, plus qu'une heure... Le temps file, trop vite...

    La peau devient blanche pour passer à l'écarlate...

    Le ventre se noue, les muscles aussi...

    La peur grandit, l'excitation aussi...

    Et si ?

    Une folie comme ça, pour une fois, après avoir été trop sage... comme une image.

    La trouille me prends, telle une enfant à l'idée du grand méchant loup.

    Prendre mes jambes à mon cou ? Ce n'est pas mon genre, mais après tout ?

    Tenir le coup, rester pour essayer, pour m'observer, pour essayer, pour peut être qui sait me trouver belle.

    Et si ?

    Ne pas être à la hauteur, trop comme ci ou pas assez comme ça.

    Le temps file... rattrapes moi !

    Cigarettes sur cigarettes, l'émotion est à son comble.

    Pourquoi ? Parce que je suis une excessive, une émotive, une fougueuse, une frileuse...

    Aucune marque sur ma peau sauf mon histoire... mes histoires... marquées en noir, indélébiles...

    Complètement flippée !


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    Elle avait éteint la lumière, affalée sur son beau canapé, armée de sa télécommande et de petits trucs à grignoter, elle était prête pour son marathon télé post nuit à travailler.

    C'était sans compter les piles qu'il manque à la télécommande et les programmes qu'il manque à la télé.

    Ni une ni deux elle saute sur son lap top (sans lui faire mal quand même ça n'est pas son genre), elle enclenche l'écran prête à décoller et là elle tombe sur quoi ?

    Son vrai truc de midinette, mieux que l'Ile de la tentation, plus sauvage qu'opération séduction, oui, c'est lui, le Bachelor, Officer and Gentleman ! Bien sur elle a du mal à imaginer qu'aux Etats Unis ils en sont à la saison 10, les chanceux avec leur programmes à la mords moi le noeud ! Il est là, grand, beau, fort, médecin et... nous en passerons des meilleures. Elles sont superbes, blondes à foison, avec des emplois (bidons?) dignes des meilleures écoles et qu'est-ce qu'elles sont ? Cons ?

    Elle ne s'en lassera jamais de voir ces femmes pleurer de leur amour perdu (vous savez celui qu'elles connaissent pour certaines depuis 3h, 3j, 1 semaine), et cette homme qui vraiment ne fait qu'hésiter (allez donnes moi ton coeur, je sais qu'il est caché derrière... ses gros lolos).

    Les crépages de chignon, les déclarations enflammés, les bobos, les chutes de haut... tout est là pour qu'elle se régale.

    Et il les fait courir (oui c'est un sportif), nager (il a de ces épaules), faire du vélo, transpirer... Elles font la course plus pour gagner que pour aimer d'ailleurs mais c'est ça la beauté du sport !

    Son moment préféré (à cette chienne qui finalement va devoir avouer qu'elle aime voir son prochain ou plutot sa prochaine, souffrir de tant de conneries qu'elle au moins évitera jusqu'à nouvel ordre), celui où il lui dit qu'il ne sait pas quoi faire avec elle, qu'elle doit s'ouvrir à lui (oh le cochon!) pour qu'il puisse savoir où ils peuvent aller tous les deux (nous on sait !!). Et elle, que fait elle ? Elle lui avoue des sentiments (oui c'est une très bonne actrice) lui déclare sa flamme pour mieux partir... en fumée. Parce qu'à la prochaine rose c'est elle qui sera éliminée. Ouvres toi à moi et je t'ouvrirai la porte... vers la sortie. Belle métaphore des relations amoureuses, elle adore !

    Bien sur il ne choisira pas la meilleure, il ne fera pas le bon choix m'enfin ça c'est typique non ?.

    N'empêche qu'après ça, le dodo s'impose... et les roses ? Ah non plus jamais...

    Elle adore, vivement le prochain épisode... Venez-voir mes parents, je vous dirais comme je vous aime !


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    J'ai refusé de reregarder 2046. Déjà parce que c'était en VF et que c'est un sacrilège et puis parce que... enfin ça ça me regarde mais on dira que c'est parce que 2046 c'est juste le numéro d'une porte.

    Depuis le début du festival de Cannes, Arte nous gâte. Mais je ne vais bientôt plus avoir assez de mouchoirs pour m'en sortir.

    "Elephant" c'était lundi dernier, poignant de réalisme et pour cause... ce film de Gus Van Sant m'a retourné le ventre. Quand une journée ordinaire tourne au drame dans une amérique un peu trop armée (à mon gout!).

    "Clean" c'était jeudi. Ce film de Olivier Assayas tourne autour de l'univers de la drogue, d'un nouveau départ qui te ramène malheureusement toujours au point de chute... et puis cette femme à laquelle tu t'attaches malgré tout. Encore une fois j'y suis allée de ma larme.

    Et enfin hier soir et "2046"... Saviez-vous que le mot de la fin ressemble à Take Care ? Que ce drame parle d'une quête et qu'il ouvre les yeux sur l'impossibilité de cette quête pour certains ?

    Je vais devoir arrêter de regarder Arte... Je dis ça c'est pour mon compte en banque qui ne va plus suivre et va m'obliger à m'essuyer les larmes au papier toilette et là... je touche le fond si je puis dire !

    C'est vrai, j'ai malheureusement hérité de la trop grande sensibilité de ma maman (et de ses cheveux parfois légèrement, hum,crêpus mais bon on ne choisit pas) et je pleure pour un oui ou pour un non. Quelle idée ! Je pleure devant les films, les séries, et pour le moment j'échappe au pub mais je dis bien pour le moment. Je pleure quand une amie me fait une grande déclaration, quand je vois des enfants malades, quand je me fais plaquer (comment ça c'est normal ?) mais aussi quand c'est moi qui plaque (en plus la pil-lule passe plus facilement quand tu pleures aussi... si si!), quand on m'offre des cadeaux, quand un paysage est vraiment "trop beau", quand je parle du passé, et quand... non ? Bon... ça suffit !

    Après réflexion c'est bon je vais me mettre au moltonel épaisseur triple, pas le choix !

     


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