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    Et non Bloglandeurs, bloglandeuses... quoique ?

    Aujourd'hui je suis devenue membre à part entière du CNAPEC...

    Aujourd'hui 14 Mai 2007 c'est le Zanniversaire du Président de ce truc, et il va le fêter en Zaboureux, et bien pour lui faire plaisir mesdames et mesdemoiselles de l'ombre, vous qui n'avez jamais froid aux fesses et qui n'avez pas l'habitude de faire les prudes... Vous répondez à cette question existentielles sur nous, oui nous ?

    La question c'est LA :

    http://www.polldaddy.com/poll.asp?p=36975

     

    Sinon cher Président, heureuse d'être membre et de présenter les bonnes personnes.

     

    Et pour le CNAPEC, qu'est-ce exactement ?

    Regardez plutôt :

     

     

    Sinon Gwendoline c'est moi et j'suis même pas blonde !


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    Avec une enfant, le rythme est différent... Tu te lèves tôt, petit déjeune tôt, déjeune à midi (oui tu crèves déjà la dalle) et ne fait pas un bruit jusqu'à 15h ; C'est sieste time !

    Je pars ce soir et ce rythme très étrange va (presque ?) me manquer.

    Plusieurs soirées m'attendent déjà. Une seule semaine sans elles et c'est déjà étrange.

    Quelques films m'interpellent. Quelques salles obscures verront surement mon ombre passer... The Shadow... J'ai besoin de musique aussi. Je suis devenue incollable sur les petits canards au bord de l'eau et sur les alouettes gentilles alouettes, mais j'ai besoin d'autres choses, vraiment, intensément !

    Je me suis aussi rendue compte de quelques déceptions, non pas que j'avais les yeux fermés, mais qu'au final peu importe qui, peu importe quoi, peu importe aussi comment, si l'on te déçoit est-ce que tu peux t'en remettre ?

    Je ne sais pas, j'ai souvent (tout le temps ?) raison, mais je n'ai pas toutes les réponses.

    Et puis je sais qu'une seule chose peut calmer mes ardeurs, que même le doute de cette chose peut faire beaucoup, que le mensonge est la pire arme contre moi, la seule contre laquelle je ne peux pas lutter, mais la seule surement que je ne peux pas non plus pardonner. Est-ce un mensonge que de refuser une question (ou une réponse?) ? Pour moi peut être, oui j'avoue surement. Mais je n'ai jamais dit que j'étais parfaite.

    Je m'amuse avec les photos, les soleils m'attirent, de jour comme de nuit (entendons nous bien pas la nuit noire évidemment!).

    Je profite de la sieste du mercredi après midi pour écrire cette lettre qui résume bien mon désir d'avenir...

    J'en profite et je cherche à retrouver toutes mes illusions perdues.

    Est-ce que tu sais que d'avoir marché sur ses traces m'a redonné envie d'écrire ?

    Le sais-tu ?

    Enlèves-moi.


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    Voila ça y est, je m'en vais... je pars en vacances demain et je dois faire ma valise, couper le gaz, et enfin... prendre mon temps.

    La vérité c'est que je m'en vais et que je n'ai pas réellement envie de revenir, comment souvent quand on part en vacances il est vrai, mais j'ai des besoins de fuite en avant. Je ne serais pas loin de l'Espagne alors pourquoi pas ? Après tout rien ne m'oblige à revenir avant au moins 3 semaines. J'avais même fait une procuration pour les élections "au cas ou", alors peut être qu'il sera là ce "au cas ou".Qui sait ?

    Là bas il fait chaud, la mer m'attend, mes amis aussi, et un peu d'air. Non pas qu'ici je n'en ai pas mais comment dire, c'est différent. Le terme exact c'est surement couper le gaz... alors que souvent j'ai plutôt envie de l'allumer faut dire.

    Hier soir la soirée était animée, le dîner a fait son petit effet, et même mon père était comme un coq en pâte. Ce soir on part dîner, en tête à tête.

    Il pense que je devrais me lancer, que j'ai des possibilités, et qu'après tout "qui ne tente rien n'a rien". Peut être, mais ce sont des jolies formules toutes faites. Là je veux des vacances pour me reposer, m'amuser, rires, voir même pleurer de rires. Je veux parler espagnol, me confondre en excuse d'avoir mélangé avec du portugais et puis à mon retour... si je reviens... enfin on verra.

    Je crois que j'ai envie de voler...

    Non en fait je suis sûre...

    Depuis peu j'ai perdu le fil mais je crois que je pourrais me faire des ailes.

    Tu sais toi, m'envoler loin de tout, loin de nous, loin de vous... juste comme ça. Mais sans me brûler les ailes tel Icare. Ce ne serait pas sérieux.

    Non demain je pars en vacances et avec elle une escapade.

    Et là, juste au coin de la rue... on m'attend.

     


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    Il ne reste plus beaucoup de temps... Très peu en fait... Et pourtant je suis partagée entre hâte et appréhension.

    Une soirée à la maison pour l'occasion, on va tous se réunir pour au choix s'ennorgueillir, pleurer, s'arracher les cheveux, voir même s'enfuir.

    Bien sur parmis nous, tout le monde ne peut pas aller aux urnes, mais ça n'empêche pas l'intérêt au contraire.

    A croire parfois que lorsque l'on peut c'est trop facile alors ça ne nous intéresse pas, par contre lorsque l'on ne peut pas c'est difficile de faire entendre sa voix ! Je sens que les voix vont s'entendre pourtant dans mon petit appartement !

    Il y a ceux qui sont prêt à se barrer... les autres qui veulent combattre et rester... et il y a moi... trop peureuse pour partir, trop naïve pour ne pas y croire, trop entêtée (et non pas prise de tête hum!) pour ne pas laisser tranquille le premier péquenaud qui ne veut pas aller voter !

    Et oui parce que c'est bien de ça qu'il s'agit...

    Remarque est-ce que je préfère me retrouver avec un président immonde choisit par une majorité ou bien me dire qu'une majorité n'a pas voté ? Soit t'es fasciste soit t'es con ? Et bien oui j'suis naïve avec moi c'est noir ou blanc et là ça me semble bien noir !!

     

    Au moins chez moi, j'aurai prévu l'apéro...

     

    ET si je fais ma pom pom girl toi tu vas voter !!


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    C'était déjà arrivé... Combien de fois s'étaient-ils retrouvés dans cette situation ? Couchés cote à cote dans un lit à se raconter leur vie. Elle sa famille éclatée, des morceaux de rêve brisés, lui un amour échappée et un flot inépuisable d'amitiés.

    Liés par une seule chose : leur grand cœur.

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    Seulement ce soir là, couchés dans ce lit inconnu, elle se blottie contre lui pour autre chose qu'une vie. Juste une nuit. Elle réchauffe ses pieds froids, elle profite encore une fois de ses bras. Quand leurs lèvres se touchent c'est presque électrique. Leurs tremblements sont tangibles, leurs souffles chauds. Leurs langues s'emballent, leurs mains se cherchent... se trouvent.

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    Elle avait presque oublié ce qu'elle ressent quand il la touche... Il avait oublié la liberté naissante quand elle le touche. Elle frôle son torse, embrasse son ventre. Il caresse ses cheveux et se perd sur ses seins. Elle, la tête en arrière tente de retrouver la douceur des ébats passés. Elle ferme les yeux pour se laisser bercer.

    Encore et encore, jamais l'un sans l'autre, encore et encore, sa bouche pleine de lui, sa tête pleine de rêve.

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    Le chevauchant elle le regarde, lui qu'elle a toujours trouvé si beau. Il la regarde aussi, prête à se laisser submerger par le plaisir, par le désir, par ses mains sur ses hanches. Ses yeux ne la regardent plus, ils la dévorent... Ses hanches ne bercent plus, elles se déchainent.

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    De baisers en baisers, de caresses en caresses, d'ivresse en ivresse, de perte en perte, de moments volés, échappés, évadés... Elle profite, c'est comme imaginer, elle se délecte c'est comme ne pas oublier.

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    Quand le cri se forme dans sa bouche, quand tout son corps est prêt à rendre les armes, quand le moment arrive à la fin, elle ne veut pas, elle ne veut pas, elle ne veut pas... Parce qu'elle sait, elle sait que ce qu'elle vit c'est l'un de ses derniers moments, ceux qui lorsqu'on se laisse font place à un grand vide, ceux qui créent la détresse d'une fin. Elle ne veut pas, mais elle ne peut plus. Elle ne peut plus retenir la jouissance provenant de son ventre, de tout son être heureux d'être entre ses mains... à lui.

    <o:p> </o:p>

    Encore une fois... Encore une fois elle ne sait pas. Elle l'a forcé, obligé... pas le couteau sous la gorge non... presque. Pas d'autres aurevoir, encore et encore... Pas d'autres larmes, elle se l'était promis. Et pourtant.

    <o:p> </o:p>

    Ses jambes tremblent, ses paupières font de même... Sa tête est couchée sur sa poitrine... Elle le sent, elle le respire, elle n'écoute pas ses mots qui disent qu'il doit partir encore, toujours.

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    Elle devra passer outre, elle devra tout essayer, elle devra recommencer, ne pas oublier non mais laisser de coté. Elle devra, elle devra, elle devra... Elle doit. Elle essaye déjà.  Elle le fait déjà.

    Parce que les convictions n'en sont que lorsqu'elles sont partagées.

    <o:p> </o:p>

    L'amour c'est à deux... Le sexe... aussi.

    La seule chose en commun ? Qui sait... Lorsqu'ils s'allient.


    Placebo - Protège moi.


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