• Alors que le temps bat de l'aile, je déploie les miennes...

    Il est temps de partir... en vacances. Pas encore, pas tout de suite, mais il est temps d'y penser.

    Ce sera sans toi, as usual... chacun nos marques. Ici en rouge sur le col de ta chemise.

    J'avais pensé aux Incas, j'imaginais mes pieds dans l'eau, je rêvais de coquillages et de sable chaud...

    J'aurai tout ça. Là-bas... Pas tout à fait des Incas, mais j'irai dans leurs temples.

    J'y pense déjà.

    Entre les concerts et les week-end, je vois plus grand je vois plus loin... j'anticipe.

    Pourtant chacun a sa place.

    DJ Shadow d'abord, Stockholm après, Lenny Kravitz pour toujours et puis elles, mes jolies vacances.

    Je t'avais dit qu'on faisait de belles rencontres, de celles qui vous amènent loin.

    Je partage. De la musique c'est sur... j'attends tes sons !

    Je n'ordonne pas, je demande gentillement avec ma moue habituelle.

    Comment disait-elle déjà ? Be what you are, but change just the way I want...

    Tu as vu ce que je suis devenue ?


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    Fatiguée... Epuisée... Reprendre "une vie normale" dans mon vocabulaire veut dire ne plus s'arrêter.

    Bibliothèque François Mitterrant, une expo, une heure de queue...

    Finir au Cinéma, devant le dernier film des frères Cohen. Un vrai film de mec s'il en est. Tuer pour tuer, saigner pour saigner... Je n'ai pas aimé, pourtant une fois n'est pas coutume.

    Commencer le Lundi matin en ayant besoin d'un week-end, voir même de vacances. A quel moment dormir ? Vendredi soir ? non. Une Mégalo au Mégalo plus aisément.

    Samedi soir ? Non plus.

    4h du matin et plus, se glisser sous les draps. Se lever aux aurores pour faire la tata.

    Week-End productif ? non. Agréable ? oh oui.

    Et j'attends que tu reviennes... C'est long les vacances, non ?

    Je crois que je vais rendre cet ensemble à plus de 200 euros, j'ai exagéré tu ne trouves pas ?

    Tu ne trouves jamais... je me perds dis-tu...

    Je continue...

     


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    Quoi de mieux qu'un petit déjeuner au Fouquet's pour débuter une journée en charmante compagnie ?

    Je ne sais... peut être le petit déj de "La Durée"...

    Des prénoms qui vous remémorent des temps passés, voir révolus...

    Des envies d'ailleurs... d'été...

    D'essayer des choses folles dans notre si belle capitale.

    Il est justement temps de capitaliser...

    Prêt ? Feu ? Partez !!


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    Où en sommes-nous de la folie ? Nous la frolons à chaque instant et parfois nous y tombons joyeusement...

    Comment un simple restaurant se finit sur une péniche en face de Notre Dame...

    Comment cette soirée tourna rapidement en Road Trip...

    Nuit Blanche sur la route... Dans ta Benz Benz Benz...

    Départ 4h du matin... Arrivée 10h...

    Amsterdam, here we are...

    Un temps splendide... La veille, j'ai appris à faire du vélo... Folle certe mais pas complètement inconsciente,  je regarde.

    Burger King (pourquoi il n'est plus en France déjà?)...

    Coffee Shop (quand même il faut toujours essayer).

    Musée Rembrandt.

    Des canaux, des rues entrelacées, des pousses-pousses. Une ville qui bouge, le marché aux fleurs... Nos rires et nos cris dans leur tranquilité...

    19h00... On lève le camp.

    00h30, la couette se rabat sur un corps quasi innerte...

    La fatigue l'emporte.

    Et demain...

    Une autre folie ?

     


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    Le jour où de tomber cela finit par être sur un livre... Le jour où d'être émerveillée ce fut par un livre... Le jour où d'être vaincu par des mots ils étaient reliés...

    Juste l'âge d'apprendre à lire et déjà passionnée.

    Beaucoup d'années avec, quelques mais beaucoup trop d'années sans.

    Et puis le retour des livres dans une vie qui s'aime être rêvée. Les mots sèment, les phrases s'ancrent, les auteurs éblouissent.

    Bien sur il y a les livres qui déçoivent, les auteurs qu'on déteste... Mais... ils n'assombrissent jamais les livres qui vous transportent, ceux qui vous montrent l'infini des possibles, ceux qui vous inspirent, qui vous font grandir, qui vous laissent y croire...

    J'ai commencé Haruki Murakami avec un livre qui émeut "Au Sud de la frontière, à l'ouest du soleil". Une fois fini j'en voulais encore, de cette faim incroyable que je croyais avoir perdu... "Après le tremblement de terre" aurait pu me décevoir mais il ne m'a fait qu'aimer encore plus. Peu de gens savent faire ça, alors pour un livre c'est un véritable exploit... J'attends avec impatience de commencer "Les amants du Spoutnik", mais en attendant je dois finir "Un amour de jeunesse" qui avec un titre pareil laisse présager du Gnangnan, la Lorie attitude comme dirait certains, mais pas du tout... Ce livre sait tout faire, me faire pleurer ou avoir très chaud, même lors de mon trajet en métro. J'oublie tout ce qu'il y a autour, parfois même ma station... Je dois, je vais le finir mais je ne veux pas quitter son héroine, je ne veux pas ne plus la laisser me faire pleurer...

    Alessandro Barrico m'attend aussi avec "Océan Mer"... C'est drôle on ne m'en a dit que du bien... Ma stagiaire a confirmé et dans ses yeux j'ai su que j'avais raison de l'écouter, elle la loufoque au coeur tendre.

    Le livre n'est-il pas le plus beau cadeau a partager au monde ?

    Certain diraient que c'est la musique...

    Peut être qu'au final ce sont juste les mots... échangés, choisis, triés sur le volets... Les mots que l'on souhaite mettre dans les yeux et les oreilles de l'autre...

    Est-ce pour cela que je parle trop ?

     


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